Ismaila Madior sait donc la detention doit etre une exception la Liberte la regle? Cette liberation de Juan Branco montre bien que le Code Penal est instrumentalisé pour imposer aux senegalais le silence et la restriction de leurs libertes.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le pouvoir va sacrifier Ousmane Sonko et l'empêcher de participer aux prochaines élections. Il est quasiment certain qu'ils vont prolonger sa détention préventive au-delà de février 2024, rien que pour l'empêcher d'intervenir dans la compagne électorale même si le conseil constitutionnel à la botte du pouvoir l'empéche d'y participer. Beaucoup de gens reprochent à Ousmane Sonko son radicalisme. Mais ce radicalisme est à remettre au même niveau que le harcellement qu'il a toujours subit du pouvoir. En véritié, c'est le pouvoir qui a favorisé la montée en puissance de Ousmane Sonko. Faces aux détournements impunis , à la prédation des proches du pouvoir, aux rapports des corps de contrôle demeurés sans suite, la la vassalisation de la justice, à l'arogance des gens proches du pouvoir, à la complicité passive des marabouts, aux multiples assassinats de ses partisants sans aucune enquète, aux mensonges quotidiens des ministres, la grande majorité de la population est devenue dégouté de cette mode de gouvernance. Fort de ce constat, Ousmane Sonko a toujours tenu un discours pour dénoncer toutes ces dérives et donner de l'espoir à la jeunesse. La réaction du pouvoir n'a été que répression, emprisonnement, instrumentalisationde la justice. Quand on est attaqué par un voyou armé d'une machette, vous n'allez pas vous défendre avec des fleurs. La situation du Sénégal est pré-révolutionnaire ; deux camps s'opposent frontalement : les tenants du pouvoir et ceux qui s'en accomodent d'une part et le reste de la population en particuliers les jeunes qui croupissent dans la misère et l'indifférence des prédateurs qui les gouvernent et de l'élite corrompue qui en profite. Si d'aventure la pouvoir arrive à éteindre ce vent d'espoir, le Sénégal est foutu et deveindra à coup sur une république mafieuse. Malheureusement la lutte est inégale. L'un des camps dispose de l'argent, de la justice, de la police, de la gendarmerie, de l'armée, de la compliticité des marabouts et des médias. L'autre camp est démuni et a tendance pour certains à abandonner tout espoir pour se jeter dans les océans et le déser à la recherche d'une vie meilleure dans d'autres cieux. Notre Sénégal qui rendait la fierté de l'Afrique a été kidnapé par des mafieux qui n'ont aucune compassion pour la souffrance du peuple et de la jeunesse. C'est le désespoir complet !
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Le pouvoir va sacrifier Ousmane Sonko et l'empêcher de participer aux prochaines élections. Il est quasiment certain qu'ils vont prolonger sa détention préventive au-delà de février 2024, rien que pour l'empêcher d'intervenir dans la compagne électorale même si le conseil constitutionnel à la botte du pouvoir l'empéche d'y participer. Beaucoup de gens reprochent à Ousmane Sonko son radicalisme. Mais ce radicalisme est à remettre au même niveau que le harcellement qu'il a toujours subit du pouvoir. En véritié, c'est le pouvoir qui a favorisé la montée en puissance de Ousmane Sonko. Faces aux détournements impunis , à la prédation des proches du pouvoir, aux rapports des corps de contrôle demeurés sans suite, la la vassalisation de la justice, à l'arogance des gens proches du pouvoir, à la complicité passive des marabouts, aux multiples assassinats de ses partisants sans aucune enquète, aux mensonges quotidiens des ministres, la grande majorité de la population est devenue dégouté de cette mode de gouvernance. Fort de ce constat, Ousmane Sonko a toujours tenu un discours pour dénoncer toutes ces dérives et donner de l'espoir à la jeunesse. La réaction du pouvoir n'a été que répression, emprisonnement, instrumentalisationde la justice. Quand on est attaqué par un voyou armé d'une machette, vous n'allez pas vous défendre avec des fleurs. La situation du Sénégal est pré-révolutionnaire ; deux camps s'opposent frontalement : les tenants du pouvoir et ceux qui s'en accomodent d'une part et le reste de la population en particuliers les jeunes qui croupissent dans la misère et l'indifférence des prédateurs qui les gouvernent et de l'élite corrompue qui en profite. Si d'aventure la pouvoir arrive à éteindre ce vent d'espoir, le Sénégal est foutu et deveindra à coup sur une république mafieuse. Malheureusement la lutte est inégale. L'un des camps dispose de l'argent, de la justice, de la police, de la gendarmerie, de l'armée, de la compliticité des marabouts et des médias. L'autre camp est démuni et a tendance pour certains à abandonner tout espoir pour se jeter dans les océans et le déser à la recherche d'une vie meilleure dans d'autres cieux. Notre Sénégal qui rendait la fierté de l'Afrique a été kidnapé par des mafieux qui n'ont aucune compassion pour la souffrance du peuple et de la jeunesse. C'est le désespoir complet !
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Ismaila Madior sait donc la detention doit etre une exception la Liberte la regle? Cette liberation de Juan Branco montre bien que le Code Penal est instrumentalisé pour imposer aux senegalais le silence et la restriction de leurs libertes.
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Le pouvoir va sacrifier Ousmane Sonko et l'empêcher de participer aux prochaines élections. Il est quasiment certain qu'ils vont prolonger sa détention préventive au-delà de février 2024, rien que pour l'empêcher d'intervenir dans la compagne électorale même si le conseil constitutionnel à la botte du pouvoir l'empéche d'y participer. Beaucoup de gens reprochent à Ousmane Sonko son radicalisme. Mais ce radicalisme est à remettre au même niveau que le harcellement qu'il a toujours subit du pouvoir. En véritié, c'est le pouvoir qui a favorisé la montée en puissance de Ousmane Sonko. Faces aux détournements impunis , à la prédation des proches du pouvoir, aux rapports des corps de contrôle demeurés sans suite, la la vassalisation de la justice, à l'arogance des gens proches du pouvoir, à la complicité passive des marabouts, aux multiples assassinats de ses partisants sans aucune enquète, aux mensonges quotidiens des ministres, la grande majorité de la population est devenue dégouté de cette mode de gouvernance. Fort de ce constat, Ousmane Sonko a toujours tenu un discours pour dénoncer toutes ces dérives et donner de l'espoir à la jeunesse. La réaction du pouvoir n'a été que répression, emprisonnement, instrumentalisationde la justice. Quand on est attaqué par un voyou armé d'une machette, vous n'allez pas vous défendre avec des fleurs. La situation du Sénégal est pré-révolutionnaire ; deux camps s'opposent frontalement : les tenants du pouvoir et ceux qui s'en accomodent d'une part et le reste de la population en particuliers les jeunes qui croupissent dans la misère et l'indifférence des prédateurs qui les gouvernent et de l'élite corrompue qui en profite. Si d'aventure la pouvoir arrive à éteindre ce vent d'espoir, le Sénégal est foutu et deveindra à coup sur une république mafieuse. Malheureusement la lutte est inégale. L'un des camps dispose de l'argent, de la justice, de la police, de la gendarmerie, de l'armée, de la compliticité des marabouts et des médias. L'autre camp est démuni et a tendance pour certains à abandonner tout espoir pour se jeter dans les océans et le déser à la recherche d'une vie meilleure dans d'autres cieux. Notre Sénégal qui rendait la fierté de l'Afrique a été kidnapé par des mafieux qui n'ont aucune compassion pour la souffrance du peuple et de la jeunesse. C'est le désespoir complet !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le pouvoir va sacrifier Ousmane Sonko et l'empêcher de participer aux prochaines élections. Il est quasiment certain qu'ils vont prolonger sa détention préventive au-delà de février 2024, rien que pour l'empêcher d'intervenir dans la compagne électorale même si le conseil constitutionnel à la botte du pouvoir l'empéche d'y participer. Beaucoup de gens reprochent à Ousmane Sonko son radicalisme. Mais ce radicalisme est à remettre au même niveau que le harcellement qu'il a toujours subit du pouvoir. En véritié, c'est le pouvoir qui a favorisé la montée en puissance de Ousmane Sonko. Faces aux détournements impunis , à la prédation des proches du pouvoir, aux rapports des corps de contrôle demeurés sans suite, la la vassalisation de la justice, à l'arogance des gens proches du pouvoir, à la complicité passive des marabouts, aux multiples assassinats de ses partisants sans aucune enquète, aux mensonges quotidiens des ministres, la grande majorité de la population est devenue dégouté de cette mode de gouvernance. Fort de ce constat, Ousmane Sonko a toujours tenu un discours pour dénoncer toutes ces dérives et donner de l'espoir à la jeunesse. La réaction du pouvoir n'a été que répression, emprisonnement, instrumentalisationde la justice. Quand on est attaqué par un voyou armé d'une machette, vous n'allez pas vous défendre avec des fleurs. La situation du Sénégal est pré-révolutionnaire ; deux camps s'opposent frontalement : les tenants du pouvoir et ceux qui s'en accomodent d'une part et le reste de la population en particuliers les jeunes qui croupissent dans la misère et l'indifférence des prédateurs qui les gouvernent et de l'élite corrompue qui en profite. Si d'aventure la pouvoir arrive à éteindre ce vent d'espoir, le Sénégal est foutu et deveindra à coup sur une république mafieuse. Malheureusement la lutte est inégale. L'un des camps dispose de l'argent, de la justice, de la police, de la gendarmerie, de l'armée, de la compliticité des marabouts et des médias. L'autre camp est démuni et a tendance pour certains à abandonner tout espoir pour se jeter dans les océans et le déser à la recherche d'une vie meilleure dans d'autres cieux. Notre Sénégal qui rendait la fierté de l'Afrique a été kidnapé par des mafieux qui n'ont aucune compassion pour la souffrance du peuple et de la jeunesse. C'est le désespoir complet !
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